Retour sur l’animation « des couverts dans la ration ? » : ce qu’on en retient

Considérer les dérobées comme partie intégrante du système fourrager permet souvent de sécuriser celui-ci tout en répondant aux enjeux de qualité d’eau du territoire… Dans le cadre du PLAV 2, Pierre Bescou de la Chambre d’Agriculture de Bretagne animait une formation sur cette thématique à St Yvi le 4 juin 2019… Qu’est ce qu’on en retient ?

Quelle dérobée choisir pour l’intégrer à la ration ?  

La dérobée fait partie intégrante du système de culture elle prend réellement du sens au sein du système d’exploitation quand elle s’intègre complètement au système fourrager.  Le choix de la variété se réfléchi en fonction des rotations, des besoins fourragers mais aussi en fonction de l’accessibilité de la parcelle au pâturage ou pas.

 

Chaque espèce présente des avantages et des limites; retrouvez le contenu détaillé de la formation avec un condensé d’information concernant chaque dérobée

Des dérobées à pâturer

Toujours faire pâturer quand c’est possible afin de limiter les coûts de récolte et de stockage. Si les parcelles ne sont pas accessibles aux vaches, elles peuvent l’être pour les génisses. A noter que la Chambre d’Agriculture anime une opération d’échanges parcellaires pour remédier à l’éloignement parcellaire sur le territoire.

Alors les dérobées, obligation règlementaire ou opportunité agro-économique ?